LE 4EME REICH (DES RICHES)

LE LUXEMBOURG EN ROUTE VERS LA DICTATURE MONDIALISTE KHAZARE

LES EXTRAITS DE L'OUVRAGE

“Le monde est gouverné par de tout autres personnages

que ne se l'imaginent ceux dont l'oeil ne plonge pas dans les coulisses”,

Disraëli (1804-1881), Ministre des Finances Britannique de la Reine Victoria.

 

 

 

INTRODUCTION.

 

Dès 1976, par un ouvrage devenu très célèbre dans le monde anglo-saxon, l’américain Dess Griffin prophétisait l’émergence d’un « 4ème Reich des riches ». Auteur de nombreux ouvrages sur les questions de la finance internationale et de l’esclavage moderne, mais aussi des dessous de l’antisémitisme, ou encore de la figure de Martin Luther-King, Dess Griffin appuyait sa prophétie sur diverses indications obtenues dans les coulisses du pouvoir et des services de renseignement internationaux. 

 

Dans les années 90, son analyse sera plus connue, dans le monde universitaire, sous le nom de « théorie de l’empire global ». Les éléments de réflexion mis en avant par Dess Griffin sont avérés, en effet, dans les discours politiques des années 1990 à 2000, mettant en avant la démocratie et l’économie de marché, face à la ruine de l’empire soviétique, présenté comme le mal absolu. Sa prophétie se trouve donc crédibilisée et ces mêmes éléments seront repris par les alter-mondialistes et les anticapitalistes pour dénoncer les dessous de la mondialisation économique, dominée selon eux par la « pensée unique libérale ». Toutefois, on peut remarquer que, toujours ces mêmes éléments de réflexion, sont repris à l’inverse par des politiciens états-uniens comme Laurence Patton Mac Donald, qui pense que le « new world order », annoncé par les présidents Bush, serait une fusion entre le capitalisme et le soviétisme. Cette énigme est facilement résolue, lorsque l’on s’intéresse au financement des deux systèmes.

 

En fait, les tenants de la théorie de l’empire global, ou « 4ème Reich des riches », considèrent que les événements monétaires, puis politiques et économiques survenus depuis 1989, sont les témoins d’une transition de l’humanité vers un « empire global » imaginé par les dirigeants occultes du monde moderne. René Guénon avait donné des indications sur l’identité réelle de ces instigateurs de la modernité, qu’il tenait comme des émissaires de la « contre-initiation », et donc l’objectif final serait une parodie de la spiritualité véritable et de son organisation sociale. Cet empire mondial avait pour première étape un globe polarisé autour d’une seule grande puissance : les Etats Unis. Cette théorie est soutenue par Francis Fukuyama, un universitaire américain, et apparaît très clairement dans les plans géostratégiques de Zbigniew Brzezinski, un célèbre politologue, conseiller à la sécurité de la Maison Blanche à la fin des années 1970.

 

Brzezinski y décrit le besoin vital pour la haute finance, contrôlant les Etats Unis et le monde anglo-saxon, de dominer une vaste zone économique englobant l’Eurasie (Europe, Russie et Moyen-Orient) par le biais d’une élite, aux ordres, qu’elle générerait et contrôlerait. Ceux que l’on présente comme les fondateurs de l’Europe sont d’ailleurs avérés comme des agents au service des Américains, notamment Robert Schuman, un luxembourgeois pro-allemand, actif au service du Maréchal Pétain, qui a été engagé par la CIA en 1942. Les journaux se sont fait état en novembre 2010 que les Etats Unis avait protégé la plupart des grands criminels de guerre nazis après la guerre, et ce retournement ne doit pas étonner. Certaines caractéristiques psychologiques récurrentes des élus, selon les indications de Maurice Berger, pourraient également expliquer la duplicité du personnage Schuman (à savoir du narcissisme exacerbé).

 

Pour maintenir l’hégémonie de la puissance américaine et prévenir le retour sur la scène internationale de la Russie et de la Chine, Brzezinski planifie la construction de l’Europe comme un « organisme mou », sans unité politique, mais destiné à mettre fin aux souverainetés nationales. Pour se faire, les symboles de la souveraineté des peuples d’Europe devront être éliminés : on assiste alors, par exemple, au démantèlement des services publics et à la privatisation des grands opérateurs historiques (énergie, postes, télécommunications, etc). Le processus est initié en Grande Bretagne et en Hollande, têtes de pont atlantistes, puis s’étend à toute l’Europe sur fond de doctrine néo-libérale. Le Royaume Uni, la France et l’Allemagne sont destinés à terme à ne former qu’un seul ensemble homogène et on remarque que l’actualité de 2009 et 2010, sur fond de crise financière, laisse apparaître la mise en place d’une harmonisation sur le plan militaire, économique et fiscal entre ces trois (anciennes) nations.

 

Le contrôle de l’Eurasie est en effet indispensable pour la haute finance, cette zone contenant les ¾ des ressources naturelles mondiales en matière d’énergie et 60% du PIB planétaire. Brzezinski considère que pour parvenir à la création de cette zone eurasienne, compte tenu qu’un consensus international est voué à l’échec, il est utile de créer une « perception d’une menace extérieure directe et massive » par le public. Dès lors, Jimmy Carter, alors président des Etats Unis, lance une opération de la CIA, visant à créer un islamisme fondamentaliste, apte à être perçu comme une menace par les populations d’Eurasie. Les événements récents sur fond d’islamisme sont à considérer, sous l’angle de Brzezinski, comme « un nouveau Pearl-Harbour » ; c’est à dire un moyen de mobiliser l’opinion publique et ses ressources, pour une cause qui est contraire à ses intérêts.

 

Au final, l’ensemble Améro (Canada anglophone, Etats Unis et Mexique), Europe et Moyen-Orient vise à asseoir un gouvernement mondial au service de la race blanche, mené en sous-main par les vestiges de l’aristocratie occidentale. Un tel projet politique démesuré n’est pas nouveau dans l’histoire (empires caroligien, napoléonien ou hitlérien, formant respectivement les 1er, 2nd et 3ème « Reich ») . La sagesse dissuaderait d’ailleurs toute personne connaissant un tant soit peu l’Antiquité de s’aventurer dans ce domaine. Toutefois, les caractéristiques de ce futur 4ème Reich sont connues et même assez étonnantes. Le frère René Guénon le décrit comme une parodie, sur fond de doctrine platonicienne, de ce qu’est une civilisation normale s’appuyant sur une métaphysique intégrale. Il l’inscrit dans ce que l’Inde appelle “la révolte des guerriers”, et qui marque normalement la fin d’une civilisation. Le monothéisme abrahamique, autant le Judaïsme, que l’Islam ou le Christianisme, met généralement en garde contre une telle imposture et prophétise son avènement lent, mais aussi sa chute immédiate.

 

Quelles sont les caractéristiques du 4ème Reich ? Une liste intéressante a été publiée par mon camarade Sylvain Timsit, sur son site Internet, et permet de suivre l’état d’avancement de la grande parodie, marquant la fin de la suprématie de l’Occident et sa ruine finale. Toutefois, on peut aller plus loin en étudiant ce programme politique sous le point de vue de la doctrine platonicienne. Selon le schéma de Platon dans son ouvrage « La République », notre époque serait marquée par :

-       la fin de la démocratie, organisée par la prise de contrôle des partis politiques par des dirigeants invisibles aux profanes, une manipulation rusée de l’opinion publique par le biais d’un système éducatif abrutissant et des médias du divertissement, et la suppression totale des libertés individuelles, sous prétexte sécuritaire.

-       une parodie d’une structure traditionnelle : une autorité religieuse vidée de toute influence spirituelle et de toute transcendance + un pouvoir temporel fantoche dénué de tout pouvoir.

 

Luxembourg présente toutes ces caractéristiques et surtout le terrain favorable à un essai « in vivo » de ce programme de gouvernance : quasi-absence d’identité et d’élite intellectuelle nationales, arriération culturelle et scientifique sur fond de traditionalisme, vestiges de la féodalité instrumentalisés et acculturation / exploitation des masses. Ce terrain est issu du rôle assez glorieux que ses monarques et sa situation dans l’économie géo-spirituelle de l’Europe ont longtemps présenté. Dès lors, Luxembourg pouvait être utilisé à rebours ; ce qui est caractéristique de la contre-initiation et même du “satanisme” à proprement parler.

 

Tout d’abord le Luxembourg présente une identité “nationale” toute récente. Le pays est de création relativement nouvelle (moitié du XIXe siècle) et la population autochtone moselane est très (trop) minoritaire depuis fort longtemps pour constituer un frein suffisant à une prise de contrôle. Des populations éclectiques se sont installées, issues de l’immigration allemande, polonaise, italienne puis portugaise et ensuite internationale. A la fin de la guerre, la société grand-ducale est encore très rurale, loin des grands centres intellectuels, concentrant la richesse entre peu de mains. La reprise en main d’une élite et sa ré-orientation sont donc extrêmement aisées, bien plus qu’ailleurs. Le parti chrétien social, ou CSV « en langue du pays », s’impose dès l’après guerre, le public l’associant à la famille grand-ducale, un élément permettant de créer un minimum d’identité nationale commune (bien que vestige de l’occupation hollandaise). On serait d’ailleurs surpris de considérer qui, de l’institution grand-ducale et de la CSV, contrôle l’autre. Les conditions matérielles de l’abdication du Grand-Duc Jean sont assez caractéristiques, selon ce que rapporte Pierre Dillenburg, un proche du pouvoir, de cette inversion des valeurs. La monarchie n’a de fait aucune fonction réelle ; ce qui est sans doute fort regrettable, le roi ayant au contraire une mission traditionnelle de « régulation » et de justice, comme l’étymologie « regis » l’indique. La Grand-Duchesse Maria Theresa, bien que roturière, présente une bonne compréhension de sa fonction par son action personnelle en faveur des plus pauvres et des exclus ; ce qui est tout à son honneur.

 

Quoi qu’il en soit, la CSV perd rapidement son caractère chrétien pour devenir un parti atlantiste. On ignore hélas sa nette implication dans les lois antisémites de l’avant-guerre, selon ce que rapporte la communauté juive de Luxembourg. Quasi-totalement aux commandes depuis la libération, sa confiscation du pouvoir rend le parti de Jean-Claude Junker extrêmement sensible à la corruption et aux passe-droits. Jacques Santer, membre du groupe des Bilderberg (ce groupe, fondé par un monarque hollandais, serait une des chevilles ouvrières du nouvel ordre mondial), s’appuie sur ce parti pour imposer la construction du système bancaire luxembourgeois, basé sur le secret et l’opacité comptable. Le pays devient ainsi l’instrument privilégié des financiers internationaux, l’arrachant de son assoupissement tranquille. On assiste dès lors à une volte-face assez curieuse : un peuple qui se dit majoritairement « chrétien » et « social », rend techniquement possible le blanchiment de l’argent de tous les trafics (armes, drogue, prostitution et esclavage) et encourage les comportements associaux (fraude fiscale et corruption). L’inversion est, selon Guénon, le signe caractéristique de la contre-initiation. Elle est ici manifeste.

 

Loin de se limiter à ce grand écart, un système d’exploitation des populations frontalières est mis en place en parallèle. En observant de plus près le détail de son mécanisme, son but de maintenir un haut niveau de vie aux électeurs de la CSV. En effet, 60% des travailleurs du pays, et même 93% des travailleurs du secteur privé productif, sont des étrangers. Ces derniers sont non seulement nettement moins rémunérés que les nationaux, mais surtout privés de tout droit politique … (il est vrai du fait qu’ils sont étrangers). C’est exactement la situation qu’avait prophétisé le président Abraham Lincoln en employant le terme « d’esclavage par le salaire ». Les électeurs de la CSV sont en quasi-totalité des Luxembourgeois, travaillant au sein de services étatiques ou para-étatiques. La priorité à l’emploi des nationaux leur garantit d’occuper toutes sortes de fonctions, malgré un des plus faibles niveaux de qualification moyen en Europe. Selon l’Association de Soutien aux Travailleurs Immigrés, cette situation nuit gravement à l’efficacité du secteur public luxembourgeois. On remarque aussi que toutes les mesures d’austérité, suite à la crise, n’ont visé que les travailleurs frontaliers, avec pour objectif de ne pas limiter le train de vie des électeurs de la CSV. L’incapacité de la presse à s’émanciper de ses financiers n’invite, de toute manière, pas les victimes à protester et porter leurs doléances en justice ; Luxembourg reste inflexible aux condamnations réitérées de la Cour Européenne des Droits de l’Homme.

 

Autre fait saillant : l’autorité spirituelle, à savoir l’Eglise catholique luxembourgeoise, ne s’exprime pas dans le domaine social ; ce qui est tout de même curieux au vu de la doctrine sociale de l’Eglise consacrée par plusieurs Encycliques et de cette situation scandaleuse. Il semble qu’à l’image du parti chrétien, cette dernière suive une autre orientation. L’Eglise est un poids lourd de l’économie grand-ducale, un très important propriétaire terrien et son personnel est rémunéré par le contribuable. Dans la phase 4 de la théorie platonicienne, celle de la tyrannie, Platon décrit que le pouvoir corrompu s’appuie essentiellement sur l’esclavage et l’entretien d’une caste aveugle de profiteurs du régime, dotée elle de droits politiques. Toutefois, si le pouvoir tyrannique n’a, selon le penseur antique, aucune légitimité et s’il se maintient par la ruse et la violence sociale, il prospère surtout sur fond d’ignorance soumise des populations.

 

Le système éducatif luxembourgeois est assez caractéristique de sa capacité extraordinaire à former des êtres inaptes à une vie intellectuelle véritable, si l’on en croit les enseignants. Négligeant sciemment une formation humaniste et scientifique solide, il se concentre sur l’apprentissage des trois langues nationales. Le Luxembourgeois comme langue d’intégration et base du système éducatif, qui est un échec reconnu par les partis politiques eux-mêmes, permet de rendre très étroit la matière à réfléchir : il n’y a aucun auteur luxembourgeois dans le domaine de la philosophie et des sciences. On doit ajouter que l’apprentissage de l’anglais, qui ouvre normalement aux publications scientifiques internationales, est lui aussi sciemment négligé. Le français et l’allemand restent des langues étrangères, et on maintient les Luxembourgeois dans l’illusion qu’ils pratiquent ces langues couramment. Le niveau de maîtrise de la langue est généralement assez bas, y compris chez les élites intellectuelles artificiellement créées. Les Luxembourgeois, que l’on dit “paresseux de nos jours”, semblent se satisfaire de cet état de fait. Ce qui est fort étonnant, vu la résistance héroïque de ce peuple aux criminels nazis. Il est vrai que ces derniers étaient des étrangers et violents ; les agents du gouvernement mondial ont donc été recrutés dans le vivier local. Ceci explique d’ailleurs l’ostracisme que l’on observe dans les partis politiques luxembourgeois : les étrangers en sont quasi-absents et peu bienvenus.

 

Preuve de ces remarques critiques, on a vu ainsi des publications officielles couvertes de fautes d’orthographe et dans une langue à la syntaxe des plus douteuses. Les pseudo-élites sont généralement constituées par les fils des bourgeois locaux, aucun second cycle universitaire n’étant proposé à Luxembourg. On favorise ainsi, sur fond récurrent d’hostilité catholique à la connaissance, la perpétuation d’intellectuels au sein des mêmes familles aisées. Ajoutons que le mode d’obtention des titres universitaires à longtemps été des plus « folkloriques ». Ainsi, jusque récemment, on obtenait un diplôme de licencié en droit si l’on avait cumulé trois années d’inscription en auditeur libre dans une université étrangère, sanctionnées par un oral type de dix questions. Un mémoire sur un sujet quelconque vous permettait ensuite d’obtenir le diplôme de docteur en droit. Un greffier en chef de la chambre des députés a ainsi obtenu deux diplômes de docteur en 18 mois. Cette anecdote en dit long sur la qualité des juristes et des économistes luxembourgeois. Le système de production est de toute manière aux mains d’étrangers. La dernière réforme du droit du travail a été ainsi conçue dans un cabinet d’avocats parisiens, ce qui est assez explicite de l’absence de compétences nationales. Encore une fois, ne cherchons t-on pas avant tout à constituer une caste artificielle et soumise, plutôt qu’une élite véritable, au service du peuple ? Platon décrit précisément ce mécanisme de contrôle ; où on ne peut plus parler de gouvernement à proprement parler mais d’organisation criminelle.

 

On doit remarquer que les Luxembourgeois n’ont généralement pas de recul face à cette situation ; ce qui est la preuve que le système fonctionne. Ceux d’entre eux ayant résidé suffisamment de temps à l’étranger sont, soit très critiques et abandonnent leur nationalité, soit reviennent à Luxembourg par opportunisme financier ou cynisme professionnel. Il est vrai que le mécanisme d’acculturation de la masse et de conservation des élites en place s’accompagne d’un système garantissant de grands avantages pour les seconds, dont une impunité relative. Comme le confiait le Dr Jean Goedert, « au pire, on doit partir ; mais, comme on n’aime pas le scandale ici, vu que tout le monde est en famille avec tout le monde, on peut généralement agir en toute impunité ». On regrettera que le système soit construit, à l’image des organisations mafieuses : l’omerta et les solidarités dans l’élite garantissent une quasi-impunité aux collaborateurs du régime.

 

L’ASTI mettait en lumière la perception des Luxembourgeois (43% selon le sondage), selon laquelle la Police serait caractérisée par la corruption, les passe-droits et les abus de pouvoir. Il est toujours inquiétant qu’un peuple ne témoigne pas de confiance envers ceux chargés de la paix civile. On doit ajouter que le Parquet et même le système judiciaire sont plutôt perçus comme des citadelles de la xénophobie et du clientélisme par les Luxembourgeois eux-mêmes, comme l’affaire Clearstream l’a mis en lumière et le sondage de l’ASTI en fait état. L’état actuel du droit incite d’ailleurs à la plus grande méfiance, Luxembourg ne garantissant - en réalité - aucune des grandes libertés individuelles consacrées par la Déclaration Universelles des Droits de l’Homme de 1949

 

Par exemple, le Comité pour la prévention de la torture (CPT) rappelait dernièrement que les trois droits fondamentaux, dès le tout début de la privation de liberté - à savoir le droit d'informer un proche, le droit à l'accès à un médecin et le droit à l'accès à un avocat - ne sont pas garantis au Luxembourg. La quasi-totalité des détenus rencontrés par la délégation du CPT ont signalé qu'ils avaient vu un avocat pour la première fois lors de leur comparution devant le juge d'instruction, et n'avaient pu s'entretenir de manière confidentielle avec lui qu'après cette comparution. Pourtant, l'article 3 de la Convention européenne - pour la prévention de la torture et des peines ou traitements inhumains ou dégradants - consacre le droit à l'accès à un avocat et le droit de s'entretenir sans témoin avec lui, dès le tout début de la privation de liberté. Luxembourg dispose d’un système juridique pourtant assez élaboré dans le domaine financier, mais il semble que, mis à part dans le cas du secret bancaire, les droits individuels soient absents des préoccupations des législateurs.

 

L’organisation anti-démocratique, qui mène le pays dans l’ombre, n’hésite de toute manière pas à expulser et même éliminer les récalcitrants physiquement (par des maquillages de suicide à l’étranger ou des accidents de la route, selon les modes habituellement observés), si l’on en croit les diverses affaires ayant fait les jours heureux de la presse à scandale. La seule d’ailleurs qui jouisse d’un tout petit semblant d’autonomie.

 

On retrouve donc à Luxembourg, sous la forme d’un microcosme, ce que risquent fort d’être les caractéristiques essentielles du « 4éme Reich des riches », tel le décrit Griffin mais telle que le prophétise surtout les traditions monothéistes à propos du « règne parodique marquant la fin de la civilisation occidentale » (expression de René Guénon):

-       une autorité spirituelle concentrée sur sa propre survie, voire un simple instrument de contrôle moral pour la société ;

-       un pouvoir temporel fantoche, déchu de ses prérogatives de justice sociale ;

-       une caste de profiteurs du régime, caractérisés par la corruption, les passe-droits et l’impunité ;

-       un peuple maintenu dans l’ignorance, privé de droits fondamentaux et tenu en état d’esclavage salarial.

 

Aimant le Luxembourg profondément et souhaitant faire justice à son passé, nous avons divisé notre ouvrage en deux titres et un épilogue :

- le premier est consacré au Luxembourg et à son peuple, à l’histoire riche et glorieuse, puisqu’il a donné plusieurs monarques au St Empire ;

- le second décrit la manière dont la caractéristique historique et spirituelle unique du Luxembourg a été inversée, pour en faire un laboratoire, tout entier dévoué au projet d’empire global ;

Il se conclue par un épilogue, qui esquisse la fin du Luxembourg comme état-nation, et l’avènement d’une « ville ouverte », au titre d’une des capitales de l’Eurasie ; sachant que cette situation n’aura aucune durée et marquera la fin de la civilisation occidentale.

 

 

 

PLAN DE L’OUVRAGE.

 

Avant propos. Qu’est-ce qu’une “civilisation régulière”, au sens guénonien ?  

 

TITRE 1. Histoire brève du Luxembourg : de l’Imperium aux années 1970.

 

TITRE 2. Le système mafieux luxembourgeois : exploitation des masses et moyens de contrôle.

CHAPITRE 1. Les trahisons de la CSV : du rôle du parti chrétien dans les lois antisémites de l’avant-guerre à l’atlantisme aveugle de Jacques Santer.

CHAPITRE 2. Les piliers du régime : système bancaire (origine et but), éducation et médias (la machine à crétins), police et justice (les citadelles de la xénophobie et du non-droit), les pédophiles et les satanistes (le "réseau Z." à la police, au parquet et à la justice). 

 

EPILOGUE. La fin tragique du Luxembourg et l’échec du projet européen. Pistes de réflexions sur la restauration impériale (le grand monarque et le dernier pape). 

 

 

 

 

Notes et ressources.

 http://www.amazon.com/s/ref=ntt_athr_dp_sr_1?_encoding=UTF8&sort=relevancerank&search-alias=books&field-author=Des%20Griffin

« De Pétain à la CIA, La face cachée de Robert Schuman », François Asselineau, Ed. UPR.

 http://www.voltairenet.org/article167519.html

 http://video.google.fr/videoplay?docid=-2007933227138676264#

 http://syti.net/Targets.html

 http://www.lesfrontaliers.lu/index.php?p=edito&id=5237&f_a=disc&f_id=49606&page=1#Item_1

 http://ressources-cla.univ-fcomte.fr/gerflint/Algerie6/reisdoerfer.pdf

 http://www.lesfrontaliers.lu/index.php?p=edito&id=4786&f_a=disc&f_id=48725&page=1

 http://fr.wikipedia.org/wiki/Denis_Robert

 

 

 

Cet ouvrage était dédié à mon père Kamil Kolber, qui a été ma principale source d’informations puisque proche du pouvoir et acteur de la création du système bancaire luxembourgeois. Mon père a été tué dans des conditions qui ne sont pas officiellement encore éclaircies à ce jour, bien que l'identité du meurtrier et de ses complices ainsi que l'usage de matériel suggestif (psychotronisme) ne fassent aucun doute. J'ai consacré un ouvrage à cette question : "Die Axt-Mörder von Hassel - le meurtre à la hache de Hassel". 

 


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