LE 4EME REICH (DES RICHES)

LE LUXEMBOURG EN ROUTE VERS LA DICTATURE MONDIALISTE KHAZARE

LE TROISIEME TEMPLE

 

“Vous riez de moi, car je suis différent. 

Je ris de vous, car vous êtes tous semblables”.

 

 

Dans notre ouvrage “Imperium, la franc-maçonnerie et la nostalgie de l’Empire”, nous avions présenté l’analyse platonicienne des civilisations à partir des textes originaux et de la pensée guénonienne. La synarchie n’est pas une idée propre à Platon : on la retrouve sous toutes les latitudes et à toutes les époques. René Guénon s’est attaché à montrer, au contraire, qu’elle animait l’organisation impériale chinoise depuis son origine (dans son ouvrage “La Grande Triade”, Gallimard). Pour notre part, nous avons dégagé ses principes dans l’Imagier (le Tarot de Marseille), mis au point par l’abbé Suger (le fondateur de l’art gothique). 

 

Pour le philosophe grec, la société idéale prend en compte une série de contraintes naturelles, inhérentes à l’homme :

- la distinction des nomades et des sédentaires ;

- la manifestation de trois types de tendances psychologiques chez les êtres humains sédentarisés : réceptive, dynamique et active ;

- le fait que certains individus sédentarisés n’ont aucune qualité dominante, soit qu’ils sont des nomades (apte au chamanisme et à la chasse), soit que les conditions de leur sédentarisation ont orienté leur psychisme et leur génétique dans une direction relevant du pathologique (paresse, cupidité et zombisme).

 

La science moderne tend à valider ces constatations : sociologie, archéologie, neuro-psycho-endocronologie et génétique convergent. Nous renvoyons sur ce point au tome 3 de notre ouvrage “Reiki, médecine mystique de Mikao Usui”.

 

En effet, la capacité a construire une civilisation semble le propre de l’homme moderne. Cette qualité le distingue de croc-magnon, dont l’organisation clanique n’a jamais généré d’habitat urbain. Notre ancêtre a disparu, sans doute sous l’effet de la dégénérescence, liée à sa sédentarisation. La consanguinité et le cannibalisme semblent d’ailleurs avoir marqué les stades ultimes de sa déchéance. 

 

De nos jours, les scientifiques observent les conséquences néfastes de ce que l’on nomme “maladies de civilisation”, auxquelles nous tentons de palier par des déplacements incessants et une quête insatiable d’exotisme. Sauf règles spécifiques, le nomadisme se révèle comme la loi intangible de l’hémisphère nord, la sédentarité générant des effets pathogènes. Et inversement dans l’hémisphère sud, comme l’étude des sociétés humaines en fait démonstration par les faits.

 

Les règles spécifiques développées par nos ancêtres, afin de pouvoir vivre comme des sédentaires sains de corps et d’esprit, apparaissent clairement dans la civilisation chinoise, et reposent sur les mêmes schémas subtils que l’acuponcture ou la science de la construction (Feng-Shui). Platon développe plutôt les conséquences de l’oubli des règles en question, au fur et à mesure que chaque classe d’être humain, au sein la civilisation malade, entend s’en émanciper (théocratie, oligarchie, démocratie puis tyrannie).

 

Dans la société chinoise, un nomade était choisi et maintenu dans cet état : l’Empereur. Sa vie, ritualisée à l’extrême, observait une circulation au travers des provinces de l’Empire. Ces dernières formaient un “carré magique” (donc à neuf cases), comme celui utilisé en astrologie. La vie de l’Empereur s’y inscrivait à l’image de celle de la Lune dans ses quartiers et du Soleil dans les constellations zodiacales. Et même au-delà, l’Empereur diffusant même une “lumière” supérieure à celle des astres en question. Le concept a été étudié en détail dans notre triptyque “Reiki, médecine mystique de Mikao Usui”. 

 

Les savants de la Compagnie de Jésus sont réputés avoir inspiré la monarchie française sur ce modèle, bien connu d’eux. Le Roi-Soleil se voulait ainsi le monarque de l’Ouest, à l’image de son homologue chinois. En parallèle, la traite des êtres humains, le trafic de drogue et la finance permettaient à l’Angleterre d’affirmer son hégémonie sanglante. Les Bourbons seront balayés par la révolution. Le vent de liberté des francs-maçons américains soufflera sur le monde, avant que l’ancienne colonie britannique ne se transforme en instrument d’oppression dans les mains de la noblesse anglo-saxonne déchue. 

 

La noblesse déchue : contre-initiation et pseudo-religion.

 

La révolte contre l’autorité spirituelle est le propre de cette noblesse déchue. Son attitude n’est, selon le schéma de Platon, que la conséquence d’une perversion préalable (la théocratie) de l’autorité spirituelle. En rejetant ou en méconnaissant la synarchie pour s’imposer comme médiateur entre Dieu et les hommes (ce qui est normalement la fonction de l’Empereur), l’Eglise catholique a généré une rupture dans l’équilibre social. La révolte de la noblesse n’est qu’une réaction contre l’abus que la Papauté fait de son autorité. Toutefois, la révolte contre l’orthodoxie religieuse sape, à la base, la justification intellectuelle même de l’existence d’une noblesse. 

 

Pour se maintenir, la noblesse n’a de choix que de se tourner vers la caste opposée au clergé : c’est à dire vers les gens de métiers et, particulièrement, la sous-caste des marchands. Cette dernière, sans utilité sociale et dont la seule motivation est la cupidité, est un allié objectif. Pour autant, ce jeu est voué à l’échec. On observe vite que l’aristocratie est évincée par les bourgeois, dans les allées du pouvoir comme dans les loges. Lorsque la noblesse se maintient, ce n’est qu’au prix d’un nouveau reniement.

 

Cette perversion apparaît comme une négation de sa thématique traditionnelle : l’aristocratie déchue (qui ne mérite plus en conséquence ce nom) génère veuves et orphelins, qu’elle exploite ensuite. La révolution industrielle et les deux guerres sont deux machines infernales à appauvrir et dépeupler ; jusqu’à ravaler l’homme au rang de simple machine biologique (un zombie sous contrôle mental, un “golem” de laboratoire).

Voir Rusty James :

http://rustyjames.canalblog.com/archives/2013/12/10/28627358.html

 

Les dangers de l’hétérodoxie et de l’archéologie.

 

Dans sa folle quête de puissance, la noblesse déchue se tourne vers l’hétérodoxie religieuse. Elle entend se maintenir, à partir de la Renaissance, par la Réforme et le recours aux antiquités gréco-latines. Au long du XIXe siècle, elle s’affirme par la morale ; cette morale dont le protestantisme anglo-saxon est l’expression même. Au début du XXe siècle, la page est déjà tournée et partout triomphent les spiritualismes les plus ridicules : théosophie, spiritisme, néo-paganisme et antiquités égyptiennes sont les nouvelles croyances aristocratiques. 

 

La franc-maçonnerie, totalement infectée par ces spiritualismes, change profondément de nature sous l’influence de la haute bourgeoisie et de la noblesse déchue. Elle se meut, sous l’action de divers agents (psychologisme, néo-kabbalisme, magie, pseudo-ésotérisme) en une incroyable machine à fabriquer l’opinion. Ce n’est là encore qu’un moindre mal. 

 

Les influences errantes et infernales.

 

Le spiritualisme, parce qu’il n’a pas accès à la spiritualité véritable, ne peut produire qu’un artefact de l’initiation. Pour se faire, selon l’adage que Satan est le singe de Dieu, elle contrefait l’influence initiatique par l’évocation des morts (spiritisme) et des résidus des civilisations éteintes (archéologie et exotisme). Les formes nouvelles des spiritualités anciennes (mésopotamiennes, égyptiennes, gréco-latines et païennes), y compris celles du moyen-âge, sont des contre-façons des mouvements dont elles se réclament : l’AMORC n’a aucun lien avec la Rose+Croix véritable, le Temple solaire avec les Templiers, etc. Et ces groupements ne sont pas seulement grotesques : leur nature parodique les destinent à un usage bien plus redoutable.

 

La contre-initiation.

 

La contre-initiation n’est pas seulement une parodie de l’initiation : elle substitue aux influences véritablement spirituelles (supérieures), d’autres, de nature infernale (démoniaques). La preuve en est l’usage de symboles éclatés, issus de diverses traditions, et recomposés avec un sens nouveau. 

 

La psychanalyse, à la suite de Freud, Jung et Reich, opère comme une initiation à rebours, dont le but est de renforcer l’impression d’ego. Si, au début de la pratique, les intentions sont purement matérialistes, Reich signe une direction stupéfiante. Il y aurait beaucoup à dire sur le sujet, ce psychiatre ayant oeuvré au sein d’agences gouvernementales impliquées dans des projets comme l’Expérience de Philadelphie ou le Projet Mantauk.

 

Sur cette base, la religion parodique se dessinait déjà. L’idéologie du 3ème temple en est l’expression même. 

 

La pseudo-religion. 

 

Quoi qu’il en soit, la direction suivie par la noblesse déchue l’a mise en contact avec un vaste savoir, aux implications technologiques. Pour asseoir sa puissance, l’aristocratie criminelle a généré la fin de la démocratie et des Etat-nations. En s’appuyant sur de vastes forces de Police, du domaine privé et non gouvernemental, elle se prépare à un coup d’Etat mondial, sur fond de catastrophes naturelles et d’un ultime conflit armé généralisé. Son projet est d’établir une société anti-synarchique, parodie de l’Imperium, dont le propre sera d’être aux mains de la pire bande de criminels de toute l’histoire. 

 

Paradoxalement, on doit imputer à Charlemagne cette issue prévisible pour l’Occident. L’attitude de l’Empereur est assez paradoxale : il accepte les apports scientifiques de l’Islam (mathématiques, sciences appliquées, philosophie) mais reste attaché au message évangélique. Or, celui-ci est une nette nomadisation de l’influence spirituelle du temple de Jérusalem : il ne s’adresse donc valablement qu’à des nomades (comme l’Empereur). Toutefois, pour fonder une civilisation, ce message et cette influence se devaient d’être adaptés ; ce qu’indique bien le symbole de la crucifixion “inversée” de l’apôtre Pierre à Rome. En recourant au Judaïsme et en rejetant la baraka de l’Islam, le Christianisme de Charlemagne porte déjà en lui sa propre contradiction. Dès la mort de l’Empereur, l’institution impériale s’effondre. Les tentatives ultérieures de fonder un Imperium en Occident obéissent à la même contradiction et tous sont balayés. L’Islam n’a aucune vocation à mener l’Empire occidental, ni à cette époque, ni de nos jours. Sans doute faudra t-il attendre une nouvelle révélation spirituelle, celle de l’ère du Verseau. 

 

Ce fondement maladroit est encore plus dangereux après la Reconquista et les Croisades. Les Templiers se livrent à l’archéologie et déterrent des documents de magie cérémonielle antiques. Les récalcitrants à la conversion  catholique (des Juifs et des Musulmans), chassés d’Espagne, apportent en Europe l’enseignement de la Kabbale et la pensée d’Averroès. Or, le premier est une adaptation hétérodoxe de l’ésotérisme islamique et le second porte les germes de la modernité (laïcité du monarque, personnalité morale de l’Etat, la croyance renvoyée dans la sphère privée et non du domaine public). 

 

La disparition de l’initiation seigneuriale médiévale (St Gilles du Gard) et la lente décadence des institutions de métier (devenue simplement spéculatives), après la Renaissance, poussent la noblesse - en révolte contre l’autorité spirituelle - à reformuler une initiation aristocratique. Elle le fait sous l’influence de l’occultisme kabbalistique et des traités antiques de magie cérémonielle, mis à jour par l’archéologie. 

 

Ces deux sources - ésotérisme monothéiste hétérodoxe et vestiges initiatiques - vont durablement empoisonner la vie intellectuelle de l’Occident. Les thèmes de la pseudo-religion du 3ème temple sont caractéristiques de cette double influence. La figure de Bap(tiste-Ma)homet, ou Baphomet, qui l’incarne, est une preuve évidente qu’une forme “d’illuminisme” guide le 4ème Reich, sur ces mêmes bases erronées (identiques d’ailleurs à celles de leurs prédécesseurs racistes allemands). 

  

La nouvelle pseudo-religion, inventée de toute pièce et sans aucune influence spirituelle authentique la légitimant, est un arlequin : - de vestiges de la tradition juive (comme la Kabbale et les traités antiques) ; - de prolongements du protestantisme anglo-saxon ; - d’aspects (sur la base d’une inversion) de la réforme de Vatican II ; auxquels seraient associés : - une nouvelle histoire de la genèse de l’homme faisant intervenir une “race extra-terrestre” et sa technologie ; - une ré-interprétation de la religion égyptienne éteinte et de son symbolisme ; - un calendrier astrologique inversé (basé sur les phases discordantes de Vénus et de Neptune).

 

La grande parodie finale. 

 

Face à l’arrogance avec laquelle la mafia du 4ème Reich dévoile désormais au grand jour son projet d’aliénation du genre humain, la mutualisation de l’information sur l’Internet a permis l’émergence d’une prise de conscience populaire planétaire. Il est vrai qu’elle a aussi comme corollaire un fichage des opinions, assez inédit dans l’histoire des dictatures (réseau échelon, web-bot, facebook, enregistrement quotidien du contenu du web, etc). L’un ne va pas sans l’autre, les conspirateurs ayant certainement pesé le pour et le contre de cet espace de liberté provisoire. Un article sur la question du 4ème reich, très succinct (une demie page) et publié dans une gazette tirée à 100 exemplaires, m’avait fallu, en 1998, d’échapper de peu à une tentative de meurtre. Nous assistons, douze ans après, à un dévoilement du projet génocidaire, typique de “l’arrogance aristocratique” et de son sentiment d’impunité. 

 

L’arme des justes est l’absence de peur et de haine contre ce prédateur, qui prive le criminel de toute jouissance dans son forfait. Le piège d’un affrontement avec le peuple doit absolument être évité, cette anti-aristocratie ayant l’avantage d’avoir longuement organisé sa force brute en cas de choc frontal avec la masse humaine. Comme nous l’avons écrit maintes fois depuis plus de 20 ans, toute crainte doit être écartée : leur seule garantie de puissance réside dans notre peur. Nous sommes pour eux des mouches. Certes une mouche ne peut pas arrêter un train, mais elle peut rendre le conducteur fou ! C’est d’ailleurs dans ce domaine que nos ouvrages et nos articles ont visé juste, si l’on en croit l’état de fureur qu’ils suscitent chez les domestiques du système. 

 

Tout d’abord, la grande parodie finale est, par nature, vouée à l’échec. La noblesse, quelle que soit son camp (spirituel ou criminel), le sait. La domesticité de l’anti-aristocratie est sa seule force objective ... et la seule carte (de son jeu) qui l’invite à s’illusionner encore sur l’issue finale. Informer les larbins du 4ème Reich qu’ils n’ont aucun intérêt à la réussite de leurs maîtres est un objectif facilement réalisable. Il est atteint, si l’on en croit la théorie scientifique du “centième singe”, dès lors qu’est avéré un pourcentage critique de déloyauté envers le système. 

 

La majorité des observateurs qualifiés admettent que cette masse critique de conscience est atteinte depuis 2007. Elle est la base rendant possible une “intervention extérieure”, que chacun reconnaîtra comme telle le moment venu. Nous laissons à d’autres le soin de préciser sa nature exacte. Tous ces éléments doivent être pris en considération : nous assistons à une fin de civilisation au niveau mondial. 

 

Pour le moment, l’agenda du nouvel ordre mondial semble s’être quelque peu enroué : la crise de 2008 n’a pas permis toute la centralisation souhaitée du système bancaire (même si les institutions autonomes d’épargne populaire sont passées sous contrôle des grandes banques), la campagne de vaccination de 2009 n’a pas convaincu les masses et encore moins “enrhumé” la Chine (merci la neige artificielle), l’Iran et la Chine n’ont pas cédé aux provocations militaires en 2010 (pas de riposte nucléaire), et la faiblesse du dollar face à l’euro ne risque pas de conduire en 2011 à une faillite de l’économie nord-américaine, mais plutôt à une grosse manipulation type 9/11 (expérience Cern / Golf d'Aden). Il faudra sans doute attendre les JO de 2012 à Londres pour assister au grand show. Qui du peuple croira alors les médias officiels ? 

 

C’est donc en nous-mêmes que nous trouverons la réponse à la question centrale : quel avenir souhaitons-nous pour l’humanité ? C’est notre réponse intérieure, individuelle et collective, qui le déterminera. La réaction de la noblesse déchue est parfaitement prévisible face à son échec inéluctable : enfermée dans sa logique, elle est capable d’aller jusqu’à une destruction totale de l’humanité et de la planète. Cela correspond bien au degré de désespoir dans lequel elle s’est enfermée. Ses lubies racistes de contrôle totalitaire de la “nouvelle ère” trahissent ses angoisses et sa crise d’identité profonde.  

 

 

 

 

Notre blog étant lu également au Luxembourg, nous devons faire une mise au point. La famille grand-ducale, et particulièrement le Grand Duc Henri et son épouse Maria-Theresa, ni leur fils Guillaume, ne sont pas impliqués dans le projet de 4ème reich et de 3ème temple.


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